13 juillet 2006
Rue Santeuil
Nantes le 11 juillet 2006 – 14h00 - Nantes comme un adieu ; il n'en est rien, mais j'ai peur : les effets des anniversaires... ceci dit elle m'a avoué qu'elle m'aimerait jusqu'à 91 ans puis qu'elle me quitterait pour un autre. Tu n'y peux rien, mon garçon, tu es face à un hybride de Marie Bonaparte et d'Audrey Hepburn. Vive le clônage évidemment ! Lumineuse, oui, mais dans les tons ultraviolets, le chutney encore et le sang du canard qui gicle sous ses dents . Un jour je lui arracherai un morceau d'oreille et je dirai que son père est innocent comme un lapin qui vient de fuir. Et toi, filiforme capitaine d'un radeau de trop d'amarres, puisses-tu être misérable et glorieux.
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